le mystère de la chambre jaune résumé

Rance, un familier des lieux quand il se trouve en France, a l’habitude de rentrer et sortir incognito. Le château est relié au donjon par un vieux mur (p. 50 du chap. Leur journée de travail a commencé à 10 h 30 et s’est répartie de la manière suivante : 10 h 30 à midi, 13 h 30 à 17 h et 18 h 00 à minuit. A minuit, mademoiselle Stangerson alla se coucher dans la chambre À ce moment le cri de la Bête à Bon Dieu retentit dans la nuit et le garde se poste à une fenêtre pour faire des grands mouvements de bras. RESUME : Le professeur Stangerson travaille depuis quinze avec sa fille, qui a toujours refusé de se marier. Le Mystère de la chambre jaune a été adapté en 1990 au sein d´une série de bandes dessinées consacrée à Rouletabille parue chez Lefrancq, par André-Paul Duchâteau (scénarios) et Bernard Swysen (dessins), dans la collection BDétectives de Claude Lefrancq Éditeur[2]. Le Mystère de la chambre jaune est un roman policier de Gaston Leroux, paru en 1907. « Le presbytère n’a rien perdu de son charme, ni le jardin de son éclat », Le Mystère de la chambre jaune (homonymie), https://fr.wikipedia.org/w/index.php?title=Le_Mystère_de_la_chambre_jaune&oldid=179027610, Roman de Gaston Leroux adapté à la télévision, Œuvre littéraire se déroulant en Île-de-France, Catégorie Commons avec lien local identique sur Wikidata, Article de Wikipédia avec notice d'autorité, Page pointant vers des dictionnaires ou encyclopédies généralistes, Article utilisant le modèle Dictionnaires inactif, Portail:Littérature française ou francophone/Articles liés, Portail:Littérature française/Articles liés, licence Creative Commons attribution, partage dans les mêmes conditions, comment citer les auteurs et mentionner la licence, Intérieur : La pièce est grande. Le jury convaincu acquitte Robert Darzac. Rouletabille parvient à pénétrer dans le domaine du Glandier, où l'agression a eu lieu, grâce à une phrase énigmatique (« Le presbytère n’a rien perdu de son charme, ni le jardin de son éclat ») qui lui permet de gagner la confiance de Robert Darzac, le fiancé de la victime. Résumé de Le mystère de la chambre jaune La fille du professeur Stangerson est victime de deux agressions dans sa chambre. Il parvient aussi à confirmer son hypothèse selon laquelle le revolver a servi à Mlle Stangerson et parvient à identifier, sur la bases des informations données à contrecœur par le juge, que l’assassin s’est enfui par la fenêtre du vestibule, ce que corroborent les preuves récoltées lors de l’enquête, même si au moment de l’incident « les volets de fer sont restés fermés à l’intérieur par leur loquet de fer Â». Et pourtant, la pièce était barricadée comme un coffre-fort ! L’air désespéré, Darzac retourne au château. Lisez « Le mystère de la chambre jaune » de Gaston Leroux disponible chez Rakuten Kobo. L' hôtel de Rambouillet est parmi les 300 habitations ayant l'eau courante et évite les 20 000 porteurs d'eau de la Seine. Le garde entre dans l’auberge et l’aubergiste refuse de le servir et s’en va en claquant la porte quand le garde lui demande des nouvelles de son épouse. Il entre alors en compétition avec Frédéric Larsan, habile enquêteur de la police française, qui est déjà sur place. Comment l’assassin est-il entré ? Il reprend ensuite tous les évènements pour conclure qu’à son avis, l’assassin est sorti par la porte, au moment où M. Stangerson était seul et que cela prouve qu’il a laissé s’échapper l’assassin de sa fille, qui doit avoir un secret horrible qui les oblige tous deux à garder silence. Le Mystère de la chambre jaune est un film français réalisé par Marcel L'Herbier en 1930, d'après le roman de Gaston Leroux. Tout comme Sherlock Holmes, le héros de Leroux, un jeune journaliste répondant au surnom de Rouletabille, n’est pas rattaché aux forces de police mais fait preuve d’une sagacité qui amène le système judiciaire à s’appuyer et à reconnaître la force de ses déductions logiques. Un soir, malgré la porte de la chambre fermée à clef de l Larsan en déduit que l’assassin a essayé de détourner l’attention vers lui. Depuis sept ans M. Darzac a fait une cour assidue à Mathilde Stangerson et ses efforts venaient juste d’être couronnés de succès. Une fois dans le compartiment du juge, Rouletabille apprend que M. Stangerson a fermé ses portes à la presse. Un soir où Darzac était absent, Rouletabille se réveille au cri du chat de la mère Agenoux. Rouletabille, qui soupçonne que Darzac a des motifs secrets pour se taire ainsi, part enquêter aux États-Unis. Selon Rouletabille, le crime s’est fait sans complice, opinion que partage Larsan. « Leroux, qui voulait faire mieux que Conan Doyle et plus complet que Poe, a construit une intrigue à la rigueur géométrique qui sera admirée par Agatha Christie »[1]. Les deux amoureux entrèrent dans la serre où, dissimulé, Rouletabille écouta leur conversation autour d’une lettre que Mlle Stangerson avait reçue. Une nuit, Mathilde échappe de justesse à une tentative d'assassinat dans sa chambre jaune, pourtant fermée de l'intérieur. Il a donc vécu 59 ans. En se rendant à l’auberge, Rouletabille explique à Sainclair comment il a réussi à faire libérer les concierges en démontrant qu’ils faisaient du braconnage, tout en les protégeant des conséquences de leurs actes : il a donc droit à un dévouement absolu de leur part. Quand il revient, les trois hommes s’installent à une table dans la gare et Rouletabille interroge Larsan sur la manière dont il s’est procuré, à Londres, une canne parisienne. Rouletabille ne donne aucun signe de vie jusqu’au procès de Darzac, deux mois et demi plus tard, qu’il interrompt spectaculairement. Rance et Sainclair se précipitent et Larsan, qui vient d’ouvrir sa fenêtre, demande ce qui se passe. Il est aussi extrêmement méfiant envers la presse et demande à M. Maleine de le protéger, en vain, de Rouletabille qui réussit à le contourner en lui faisant croire que son intérêt journalistique porte sur les excursions littéraires du juge d’instruction. Tous deux s’étaient enfuis à Louisville et c’est là que des policiers étaient venus arrêter M. Roussel, apprenant ainsi à Mathilde Stangerson qu’elle était la femme d’un criminel notoire. L’homme disparaît et Mathilde Stangerson apparaît « sur le seuil de son antichambre Â», car elle avait décidé justement cette nuit-là d’aller dormir dans la même pièce que ses gardes-malades. Darzac se refuse à donner une explication pour son comportement et il est arrêté. Les tomes 2 et 3 sont enfin republiés un seul volume par Emmanuel Proust Éditions en 2008[4]. Découvrant son identité véritable, elle avait caché toute l'histoire à son père, à qui elle s'était ensuite dévouée entièrement par honte et par remords. En l’examinant, Rouletabille découvre que le garde est mort d’un coup de couteau au cœur : aucune trace de balles. This is a LibriVox recording of Le Mystère de la chambre jaune, by Gaston Leroux. Ceci est un enregistrement LibriVox du Mystère de la chambre jaune, par Gaston Leroux. En mars 2018 sort une nouvelle adaptation en bandes dessinées du Mystère de la chambre jaune par Jean-Charles Gaudin et Sibin Slavković[5]. Elle avait réussi à blesser son agresseur à la main, ce qui explique pourquoi Larsan-Ballmeyer avait toujours une canne. Le père Jacques, Jacques-Louis Moustier, un serviteur de longue date de la famille Stangerson, alors présent dans le laboratoire avec M. Stangerson, décide d’aller voir du côté de la fenêtre extérieure de la chambre, dans le parc du château, pour tenter de pénétrer dans la chambre. Après avoir réclamé un délai de plusieurs heures, le jeune reporter accuse Larsan d’être non seulement l’agresseur mais aussi un bandit célèbre et présumé mort nommé Ballmeyer, qui se cache derrière une fausse identité. Dans un des creusets du laboratoire, Rouletabille trouve un morceau de papier roussi contenant des bribes de la phrase lui ayant ouvert les portes du château, daté du 23 octobre. C’est au bord de l’étang que les trois compagnons retrouvent le détective. Rouletabille refuse d'expliquer à la cour le fin mot de l'histoire, mais Sainclair le relate directement, plusieurs années s'étant écoulées. Seul Robert Darzac, surnommé « l’éternel fiancé Â», continua à l’entourer de délicates attentions et, quelques semaines avant l’incident, Mathilde Stangerson avait décidé d’accepter sa demande en mariage. Par le truchement d'Hercule Poirot, la romancière anglaise fait l'éloge du roman de Gaston Leroux dans Les Pendules. Ils relèvent deux séries d’empreintes, grossières et élégantes, à côté l’une de l’autre : ils en déduisent correctement que le père Jacques s’y était promené. Grâce à la lampe forte que tient M. Bernier, tous peuvent voir dans cette chambre assez petite Mathilde Stangerson, sans connaissance, par terre, au milieu de tables et de chaises renversées, ensanglantée, et avec des marques d’ongles sur le cou, ainsi qu’un trou à la tempe droite. L’auteur joue aussi de cette interaction entre le héros et son acolyte qui, incarnation du cheminement suivi par le lecteur, permet à l’auteur, par l’incompréhension de Sainclair, de forcer le détective à dévoiler sa pensée et son raisonnement, éclairant ainsi tous les aspects du mystère. Le Mystère de la chambre jaune - Qui a tué Mathilde Stangerson ? Larsan est en fait l’identité d’emprunt d’un criminel de haut rang qui a fait courir toutes les polices du monde depuis les vingt dernières années : Ballmeyer. Gravissant l’échelle armé d’un gourdin, Rouletabille entend le cri de la Bête à Bon Dieu qu’il prend pour un signal, mais quand il arrive à la fenêtre, la scène suivante s’étale devant ses yeux : « l’homme est là, assis au petit bureau de Mlle Stangerson, et il écrit. Darzac est acquitté. Le jeune journaliste Rouletabille, réputé pour avoir démêlé de difficiles énigmes, se rend, en compagnie de son ami l’avocat Sainclair — le narrateur de l’histoire — au château du Glandier pour y éclaircir une agression. Les cinq premiers volumes de la série sont réédités par les éditions Soleil en 2001[3]. Sainclair obtient l’adresse du fabricant de canne qui, après interrogation, explique qu’il a vendu la canne en question le soir même du crime, vers vingt heures, à quelqu’un qui ressemble à Robert Darzac, ce qui lui fournirait un alibi. Au moment où l’interrogatoire va se conclure, un coup de théâtre se produit : Frédéric Larsan rentre dans la pièce avec des chaussures pleines de boue. Le père Jacques et la concierge retourne dans le laboratoire et les trois hommes finissent par défoncer la porte. La situation a empiré pour Darzac, accusé du crime par Frédéric Larsan car beaucoup d’éléments semblent l’inculper. L' élucidation du crime et le procès sont racontés à la première personne, par l'avocat Sainclair, ami du détective Rouletabille. Ils vivent tous deux au château du Glandier. Celui-ci leur apprend l’apparition d’un fantôme noir qu’il avait tenté de suivre en vain le soir du crime mais qu’il avait observé à plusieurs reprises dans le parc. Après d'autres nombreux rebondissements où, notamment, l'Homme vert, garde forestier du professeur, est assassiné lors d'une seconde agression contre la fille de celui-ci, Frédéric Larsan abat ses cartes et fait inculper et arrêter Robert Darzac. Le château appartient au professeur William Stangerson, physicien renommé qui y mène des expériences avec sa fille Mathilde, la victime du crime. Le deux novembre, Sainclair reçoit un télégramme de Rouletabille lui demandant de venir le rejoindre au Glandier avec des revolvers. Le journaliste lui reproche de ne pas avoir eu confiance en lui et lui explique qu’il a vu Mlle Stangerson, ensanglantée, et qu’il a retrouvé dans sa chambre les documents qui avaient été volés. Rouletabille va chercher le père Jacques et tous deux se rendent sous la fenêtre de Mlle Stangerson, qui est aussi ouverte. L'énigme de la chambre jaune est expliquée ainsi : Ballmeyer, amoureux de Mathilde Stangerson, l'avait brutalisée dans l'après-midi, mais elle avait caché les traces de l'agression et s'était enfermée avant de sombrer dans un sommeil agité, au cours duquel elle avait heurté sa tempe contre le coin de sa table de nuit, causant la plus grave des blessures. Rouletabille pressent que Mlle Stangerson connaît l’identité de son assassin mais qu’elle est sous l’emprise d’un secret qui l’oblige à la dissimuler, à tous sauf à Robert Darzac. Au cœur du mystère de la chambre jaune, il y a les Stangerson, père et fille, deux savants précurseurs des travaux des Curie sur la radioactivité, qui s’intéressent à ce qu’ils ont dénommé la dissociation de la matière. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Mlle Stangerson explique ensuite qu’elle avait pris le revolver du père Jacques parce qu’elle avait aperçu la veille deux ombres rôdant autour du lac. À la fin de leur repas, Sainclair et Rouletabille retournent au château et le journaliste s’introduit subrepticement dans le logement des concierges. Les murs sont maculés d’empreintes de mains sanglantes et il y a, au sol, un mouchoir « rouge de sang Â», un vieux béret et des empreintes de chaussures d’homme. Cette nuit-là, pendant que Sainclair dort, Larsan et Rouletabille cherchent des indices dans le parc. Précurseur du Hercule Poirot d’Agatha Christie, Leroux crée un héros pour lequel ce qui prime dans la découverte de la vérité est la logique, telle qu’elle est édictée par la raison. Résumé du mystère de la chambre jaune ( le film ): (Gaston-Leroux ) Le profeseur Stangerson travaillait depuis peu dans son laboratoire avec sa fille Mathilde. Il y retrouve Larsan et tous deux en redescendent après avoir observé une scène de tendresse entre Mlle Stangerson et Robert Darzac. Et, ce n'est qu'en 1903, qu'il publie son premier roman, La double vie de Théophraste Longuet (...) C’est à Gaston Leroux que l’on doit ce diabolique roman dans lequel enquête son alter ego de fiction, Joseph Rouletabille, jeune reporter génial. La lettre sera ouverte au procès si cela devient nécessaire. Le mystère de la chambre jaune de Gaston Leroux 7 Stangerson au grade de grand-croix de la Légion dhonneur, un journal du soir, dans un article misérable dignorance ou daudacieuse perfidie, navait ressuscité une terrible aventure Il s'agit de la première aventure du jeune reporter Joseph Rouletabille. » La phrase leur ouvre les portes du château. Le chef de la Sûreté convoque alors Rouletabille qui leur démontre, sur la base des indices qu’il a relevés, qu’il a dû y avoir vol et M. Stangerson se rend compte à ce moment-là que vingt ans de recherche ont été dérobés. Découvrez Le Mystère de la chambre jaune le livre de Gaston Leroux sur decitre.fr - 3ème libraire sur Internet avec 1 million de livres disponibles en livraison rapide à domicile ou en relais - … Pendant la reconstitution de la soirée fatidique, les concierges affirment n’avoir entendu qu’un coup de feu même si M. Stangerson et le père Jacques en ont entendu deux, « un coup sourd d’abord, puis un coup éclatant Â», et que deux balles ont été tirées du revolver. Quant au mystère de la chambre jaune, Rouletabille leur révèle que l’assassin n’avait pas été dans la chambre dans la nuit : ce que M. Stangerson et le père Jacques ont entendu était le résultat du cauchemar que faisait à ce moment là Mlle Stangerson, où elle revivait l’agression qu’elle avait vécue plus tôt dans la journée, dont elle avait caché les traces. Rouletabille : Le mystère de la chambre jaune Thème : Le Mystère de la chambre jaune de Gaston Leroux En quelle année se déroule le récit? Sur le pas de porte, se tient l’aubergiste, M. Mathieu, un homme à la mine rébarbative qui fait son possible pour les décourager de rentrer jusqu’à ce que Rouletabille lui dise : « Je sais que maintenant, il va falloir manger du saignant Â». Tout l’appareil judiciaire se remet en branle ce matin-là et il ressort de l’interrogation d’un employé de gare que Robert Darzac n’était qu’à quelques kilomètres du lieu du crime au moment où celui-ci se produisait. Depuis son poste d’observation, Sainclair voit le garde sortir de la chambre d’Arthur Rance, un paquet sous le bras. C'est l'énigme de la « galerie inexplicable ». Larsan a donc multiplié les déguisements et laissé des traces afin de le faire accuser. Chargé par son journal de faire la lumière sur cette énigme, Rouletabille vient chercher Sainclair pour l’accompagner au château du Glandier car les hypothèses qu’il imagine sur le déroulement des évènements viennent contredire le compte-rendu que Le Matin en fait. En sortant du pavillon, l’assassin est allé jusqu’à l’étang où Frédéric Larsan se tient depuis le matin, a échangé des chaussures grossières contre d’autres élégantes puis il est reparti à bicyclette. De Larsan, Rouletabille apprend que les Bernier ont été arrêtés en tant que complices dans l’attentat. Rouletabille prélève l’empreinte mais reste convaincu de l’honnêteté de Darzac. C’est des écrits de M. Maleine, le greffier, que Sainclair s’enquiert du déroulement de l’interrogatoire. Ils vont chercher une échelle et s’aperçoivent en cours de route que le garde n’est pas dans sa chambre. Quand le père Jacques était rentré dans la chambre, il l’avait fait à la lueur d’une veilleuse qui éclairait très peu et n’avait donc pas pu voir les traces de l’agression. M. Stangerson décide de s’installer dans les appartements de sa fille pour toujours veiller sur elle. Publiée pour la première fois en douze livraisons dans le supplément littéraire de L'Illustration du 7 septembre au 30 novembre 1907, l'œuvre est reprise en volume en janvier 1908 chez Pierre Lafitte. Pour obtenir ce délai, il explique à tout l’auditoire comment les empreintes de Mme Mathieu, qui est le fantôme noir, ressemblent étrangement à celles de M. Darzac, et que recourir uniquement à des indices matériels pour dénouer ce crime pourrait mener à une erreur judiciaire. Tirez Â», ce que fait le concierge. Le plan fonctionne et Rouletabille se retrouve à courir dans les couloirs du château sur les talons de l’assassin qui se dirige vers une intersection vers laquelle convergent aussi le père Jacques, M. Stangerson et Larsan. Arrivés devant la fenêtre, le père Jacques et Mme Bernier se rendent compte que « non seulement les barreaux étaient intacts, mais encore les volets derrière les barreaux étaient fermés Â». La suite de ce roman, Le Parfum de la dame en noir, reprend en bonne partie la même galerie de personnages et sera le théâtre d'autres faits étranges et d'autres révélations. Après l’interrogatoire, Darzac, Rouletabille et Sainclair se promènent dans le parc du château et le journaliste retrace la trajectoire de l’assassin qui s’est caché dans un bosquet longé par un chemin en gravier, ce qui explique l’absence d’empreintes de pas, et qui a pénétré dans le pavillon où se trouve la chambre jaune par la fenêtre du vestibule que le père Jacques a ouvert à 17 h 00 et fermé à 22 h 00. Son style d’écriture est très proche du style anglo-saxon pour ce genre particulier, notamment de … LE MYSTERE DE LA CHAMBRE JAUNE par Gaston LerouxAU SUJET DU LIVRE:Le Mystère de la chambre jaune est un roman policier de Gaston Leroux, paru en 1907. Larsan a mis à profit le délai réclamé par Rouletabille — qui l'avait averti discrètement — pour déguerpir, admettant ainsi sa culpabilité. Mon père m'avait prêté une vieille édition du "Mystère de la chambre jaune" qu'il avait lu adolescent. Dans cette histoire où un assassin disparaît mystérieusement d’une chambre close où a eu lieu une tentative de meurtre contre une jeune scientifique, la vérité est révélée par une suite de déductions logiques qui ne laisse aucune place au surnaturel et se fait le miroir de l’approche rationaliste que Gaston Leroux se fait de la notion de vérité. De plus, le père Jacques a affirmé avoir entendu le cri distinctif de la Bête du Bon Dieu, le chat appartenant à la mère Agenoux. Cette énigme intemporelle, d’une jeune femme retrouvée morte dans une chambre close de l’intérieur, n’a jamais cessé de fasciner et de titiller l’imagination. Il est carrelé et dispose de nombreuses armoires et de tables recouvertes de, La chambre jaune : son plancher est recouvert d’une, Les jardins du domaine du Glandier : Le domaine du Glandier est entouré d’un grand mur de pierres. Darzac, qui arrive dans la matinée du 3 novembre, insiste pour que Rouletabille lui raconte ce qu’il a vu. En 1907, le premier roman policier de Gaston Leroux, Le Mystère de la chambre jaune, est publié en feuilleton dans le supplément littéraire de l’hebdomadaire parisien L’Illustration. Un crime a été commis dans la «chambre jaune». 4). En attendant de dévoiler l’identité de l’assassin et d’expliquer comment il a pu à plusieurs reprises s’échapper d’un endroit clos, Rouletabille prend le temps d’aller discuter avec Frédéric Larsan. Quand le juge fait appeler Larsan, celui-ci a disparu. Il n’est pas le seul puisque Larsan a acquis une réputation internationale, en raison de sa capacité à démêler les imbroglios les plus complexes. À partir de ce moment, l’aubergiste se met à leur disposition et leur fait apporter des ingrédients pour se faire eux-mêmes à manger, par une belle jeune femme qui s’avère être son épouse. Rouletabille a pris toutes les dispositions nécessaires pour cette fois-ci arriver à empêcher qu’elle ne soit blessée. La silhouette s’effondre. En 1907, le premier roman policier de Gaston Leroux, Le matin du 26 octobre, après avoir lu l’article relatant ce mystère dans le quotidien, Inscrivez-vous pour trouver des essaia sur Résumé >, Politique de confidentialité - Californie (USA). Le soir même, Sainclair retourne à Paris. Quand Frédéric Larsan est appelé à la barre des témoins, il explique que le garde est une victime collatérale de l’assassin de Mlle Stangerson, qui a dû le poignarder parce qu’il se trouvait sur son chemin. Son … Il le secoue pendant un quart d’heure pour dissiper l’effet du narcotique. Pourtant, Melle Stangerson finit par accepter la demande en mariage de Robert Darzac qui lui fait la cour depuis quinze ans.Mais peu de temps après quelle ai annoncé sa décision, on tente de lassassiner. Papa ! Personne, y compris les concierges, ne savait qu’il avait passé la nuit au château. Les Stangerson sont venus s’installer au Glandier quinze ans auparavant alors que Mathilde n’avait que vingt ans. Il lui révèle aussi le secret par lequel ce dernier avait une forte emprise sur Mlle Stangerson : Ballmeyer, sous le pseudonyme de Jean Roussel, l’avait épousée alors qu’elle n’avait que vingt ans. Mais, dans la chambre, il n’y a aucune trace de l’assassin, qui semble avoir tout simplement disparu. La véritable tentative d’assassinat a donc eu lieu pendant les quelques minutes où Mlle Stangerson pénètre seule dans le pavillon alors que son père est en pleine conversation avec le garde. Sainclair en effet connaît le fiancé de Mathilde Stangerson, M. Robert Darzac, professeur de physique à la Sorbonne, à qui il venait de rendre « un très gros service judiciaire dans un procès civil Â». 4). C’est là que Rouletabille entendit la phrase qui lui ouvrit les portes du château et la suite des évènements lui fait comprendre que quelqu’un s’oppose au mariage des amoureux. Rouletabille apprend alors à Sainclair qu’il avait assisté à la conférence de l’Académie des sciences de Philadelphie où les Stangerson et Darzac s’étaient rendus. Il est révélé que Mme Mathieu était l’amante du garde mais que le père Mathieu n’en est pas l’assassin. Rouletabille parvient à les innocenter en leur soutirant la vérité : le couple s'adonnait au braconnage sur les terres du professeur Stangerson. Résumé : Stangerson et sa fille Mathilde habitent le château du Glandier où ils poursuivent leurs recherches scientifiques. Dans Trois cercueils se refermeront de l'auteur américain et grand spécialiste des énigmes de chambre close John Dickson Carr, c'est au tour du Dr Gideon Fell de rendre hommage à l'œuvre de Leroux.

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Posté le 12/02/2021 at 08:05

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